• TOUT C'EST BIEN PASSE, DEMAIN JE REPARS EN VENDEE !


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  • PAUSE....pour une COLOSCOPIE !


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  • L'HISTOIRE OUBLIEE DU RMS. LANCASTRIA

    L'HISTOIRE OUBLIEE DU RMS. LANCASTRIA

        Le RMS Lancastria était un paquebot transatlantique britannique.

    Long de 168 mètres, il fut lancé en 1922 et baptisé RMS Tyrrhenia. Il appartenait à la compagnie britannique Cunard Line.

    Les troupes allemandes se rapprochant de la côte atlantique, à partir du 15 juin 1940, près de 40 000 soldats britanniques ont reflué vers le port de Saint-Nazaire pour tenter de s'échapper vers la Grande-Bretagne. Plusieurs navires furent réquisitionnés pour les transferts, et en tête le RMS Lancastria. Il fut coulé le 17 juin 1940 par les Allemands (une bombe de Stuka dans la cheminée). Son naufrage, fît officiellement  4 000 victimes, mais selon des témoins, lors de l'embarquement il y aurait eu beaucoup plus de victimes.

    Plus vraisemblablement 7 000 morts et disparus. 

    Sans doute une des plus grandes catastrophes maritimes du XXe siècle.

    L'HISTOIRE OUBLIEE DU RMS. LANCASTRIA

    L'HISTOIRE OUBLIEE DU RMS. LANCASTRIA

    En France, cinquante-trois cimetières entre Brest et Soulac-sur-Mer, dont seize cimetières en Loire-Atlantique et vingt en Vendée, abritent des sépultures des victimes. Des mémoriaux commémoratifs ont été érigés à Saint-Nazaire, aux Moutiers-en-Retz et à la pointe Saint-Gildas à Préfailles. Mais il a fallu des décennies pour considérer cette énorme naufrage (5 fois le Titanic)

    Plusieurs mémoriaux en hommages aux victimes du RMS Lancastria apparaissent (enfin) sur les côtes de Bretagne et Vendée. Il faut dire que les habitants de l'époque, sur plusieurs dizaines de kilomètres de côte, recueillaient les corps de ces milliers de victime afin de leur offrir une sépulture plus honorable que les rochers et les plages.

    L'HISTOIRE OUBLIEE DU RMS. LANCASTRIA

    L'HISTOIRE OUBLIEE DU RMS. LANCASTRIA

    Désormais, une bouée au large de l’estuaire de la Loire signale l’emplacement de l’épave. Celle-ci, est considérée, depuis 2006, comme un cimetière marin, avec une zone de protection et d'exclusion de 200 mètres, autour de la zone du naufrage. L'épave se trouve à 15 km du port de Saint-Nazaire, à une profondeur de 26 mètres et culmine à 12 mètres sous la surface. Elle se trouve dans une zone soumise à de fortes marées et courants. Une grande partie de l'épave est encore intacte.

    Le 17 juin de chaque année, à l'initiative de l'association écossaise The HMT Lancastria Association, une délégation de survivants et de membres des familles de victimes, vient s’y recueillir à bord de navires en déposant des gerbes de fleurs, sur l’eau.

    En mai 2018, à l'initiative du service départemental de l'Office national des anciens combattants (ONACVG) en Vendée, un parcours mémoriel a été créé, reliant les vingt communes abritant des sépultures de naufragés du Lancastria, en prévision de l'inauguration d'une plaque mémorielle sur l'île de Noirmoutier.

    ENFIN !


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  • DES PARACHUTISTES SUR LA NORMANDIE EN 1944 !

    DES PARACHUTISTES SUR LA NORMANDIE EN 1944 !

    DES PARACHUTISTES SUR LA NORMANDIE EN 1944 !

    DES PARACHUTISTES SUR LA NORMANDIE EN 1944 !

    DES PARACHUTISTES SUR LA NORMANDIE EN 1944 !

    DES PARACHUTISTES SUR LA NORMANDIE EN 1944 !

    DES PARACHUTISTES SUR LA NORMANDIE EN 1944 !


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  • Saint-Nazaire 1917 à l'heure américaine

    UN PETIT PEU D'HISTOIRE

    Le premier contingent de l’armée américaine débarque le 13 juin 1917 en France. Les troupes américaines sont entraînées par des instructeurs français et britanniques à la dure réalité de la guerre des tranchées. En juillet 1918, près de 450 000 soldats américains sont engagés sur le front.

    UN PETIT PEU D'HISTOIRE

    Saint-Nazaire fut choisi comme port de débarquement pour les premières troupes arrivant en France. Les ressources du port apparurent bientôt insuffisantes : il y eut des difficultés particulières, non seulement pour le déchargement des navires, mais surtout pour. le ravitaillement en eau douce, l'évacuation des déchets et escarbilles etc.… Le nombre des remorqueurs, toujours trop faible retardait les mouvements des transports.

    UN PETIT PEU D'HISTOIRE

    Par ailleurs l'obligation d'attendre la pleine mer pour rentrer les grands bâtiments dans les bassins conduisit à détourner peu à peu le trafic vers Brest, qui devint dès la fin de 1917 le principal port d'arrivée des troupes américaines. 

    En dépit de ses inconvénients Saint-Nazaire reçut un important contingent américain (178.000 hommes environ). Une base militaire y fut installée, sous les ordres du colonel L.H.Bash. En novembre 1917 l'Amiral Wilson détacha à St Nazaire comme officier de liaison le Capitaine de Frégate Baldwin. Grâce au concours américain le port fut progressivement amélioré en outillage et en main d'œuvre. Les transports purent avoir une place à quai réservée et des appontements spéciaux furent établis dans l'estuaire.

     

    UN PETIT PEU D'HISTOIRE

    UN PETIT PEU D'HISTOIRE

    UN PETIT PEU D'HISTOIRE

    UN PETIT PEU D'HISTOIRE

    Près de Saint Nazaire (à Montoir-de-Bretagne) fut installé l'immense entrepôt-base de Montoir avec sa gare de triage comprenant 458 Kilomètres de voies ferrées sur une longueur de 5 kilomètres reliés au réseau général de Chemins de fer. Cette prodigieuse ville de hangars et de rails était l'œuvre du colonel John Stephan Sewell. La base de Saint-Nazaire comprenait en outre des établissements annexes, ateliers et baraquements pour 40.000 hommes. Saint-Nazaire était outillé à l'armistice pour une expédition journalière de 4 à 5.000 hommes vers l'intérieur. 

    Nota : En France presque tous les ports eurent à recevoir du matériel américain. 

    Le 2 Juillet 1917 au soir 17 grands bâtiments se trouvaient dans les bassins de Saint Nazaire, causant dans le port une congestion exagérée. Les moyens de déchargement et de débarquement étaient nettement insuffisants. On ne pouvait en effet décharger que 756 tonnes par navire et par jour. 

    Malgré la présence de 500 débardeurs noirs venus d'Amérique pour le service du Corps expéditionnaire, un embouteillage était à craindre. Les navires de transports HENDERSON, DE KALB et HANCOCK durent être déchargés par leurs propres passagers.

    Le Paquebot Paris, en cour de construction (a droite des cargos américains De Kalb et Hancok) , abandonné pour cause de guerre, n'a plus reprendre les travaux qu'en 1918 et encore en sous effectif (et pour cause).

    UN PETIT PEU D'HISTOIRE

     Pour la petite histoire ce magnifique Paquebot Paris a fini ses jours dans un incendie à quai, au Havre (ici chaviré), tout comme le Normandie  à New York, on le voit ici en forme de radoub, en arrière plan.

     

    UN PETIT PEU D'HISTOIRE


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