• - DANS LES ANNEES A VENIR, ALLONS-NOUS VIVRE PLUS LONGTEMPS EN BONNE SANTE  ?

    - LES DEPARTS EN RETRAITE A SOIXANTE ANS SONT-ILS AUSSI ABERRANTS ?

    - LES METIERS PENIBLES VONT-ILS TOUS DISPARAITRE ?

     

    1- Nous vivrons de plus en plus longtemps en meilleure santé (relative), SELON LES CRITERES que nous connaissons aujourd'hui.

    2 - Si notre travail est gratifiant (revenus, plaisirs, relations, découvertes etc.), pourquoi pas travailler plus longtemps.........Mais il est FAUX de dire que les fonds nécessaires aux retraites à 60 ans ne seraient pas disponibles.

             En cotisation, bien sûr que non et c'est mathématique, mais il ne faut pas oublier que la PRODUCTIVITE a été multiplié par quatre (en moyenne) en 50 ans et que si les cotisations salariales ne suffisent plus, il faudrait penser par IMPOSER LA ROBOTISATION et pas reverser en totalité ces marges (mirobolantes) uniquement aux actionnaires.

    Nota: Nous pouvons extrapoler pour l'avenir et dire que les Êtres Humains ne travailleront plus et tous les travaux seraient exécutés par des ordinateurs et des robots. Là, selon Macron, il n'y aurait plus de cotisation et donc les retraités (à 60 ou 70 ans) crèveraient de faim et, sans rire, il serait capable de penser à euthanasier les non-cotisants !

    3 - Les métiers pénibles existeront TOUJOURS, pour les aléas de fonctionnement des robots et des ordinateurs.

             

    TROIS QUESTIONS / REPONSES SUR LES RETRAITES 

    Où il y avait des centaines d'ouvriers spécialisés, il n'y a que quelques techniciens pour l'entretien et la réparations des robots et des ordinateurs

    Ils faudra encore des chercheurs et des metteurs au point pour les nouveaux robots. Il faudra toujours travailler sur les dégâts subis par la nature. Mais là, ces héros, ces élites, devront être considéré et payer comme des "Macron" non-cotisants.

    Enfin, il faudra des revenus UNIVERSELS ; chaque individu auront une "pension de base payé par l'état" comme pour les Eloïs (H. G. Wells) que nous serons devenus

     

    Et les hommes politiques ?

    Dans les années à venir, ils seront remplacés par des ordinateurs !

    Non ! Non ! Pas par des robots, les politiciens ne se sont jamais sali les mains.


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  • ISLANDE : DESTINATION DE VACCANCES

    ISLANDE : DESTINATION DE VACCANCES

    ISLANDE : DESTINATION DE VACCANCES

     

    ISLANDE : DESTINATION DE VACCANCES

    Libre à vous de prendre l'avions pour l'Islande, c'est magnifique et les islandais sont sympathiques, mais en cas d'éruption type LAKI. Aurez-vous le loisir de décoller en avions ? Nous avons vécu ça (en plus petit) il y a quelques années !


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  • Demain matin en première heure, nous partons en Vendée ! Nous savons que çà va être la galère mais si nous perdons une heure, ce ne sera pas très grave !

    Au revoir mes amis !

    Goodbye my friends !

    Auf wiedersehen meine freunde !

    RETOUR EN VENDEE


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  • Matera c'est un voyage dans la nuit des temps

    L’histoire de cet îlot rocheux au cœur des plaines arides et vallonnées du Mezzogiorno  italien ne se mesure  pas en siècles. Elle se compte en MILLENAIRES. 

    Nota : Nous avons parcouru plus de 10 km pour notre visite, c'est sur mon IPhone !

     

    PRENEZ VOTRE TEMPS, COMME MOI VOUS SEREZ ESTOMAQUES

     

    MATERA

    MATERA

    MATERA

    MATERA

    MATERA

    MATERA

    MATERA

    MATERA

    MATERA

    MATERA

    MATERA

    A Matera, le temps s’est arrêté. Et si l’on se promène dans les ruelles sans âge, à l’aube, dans la solitude rocheuse de cette cité de pierre, rien ne peut empêcher notre esprit de vagabonder en explorant cette formidable machine à remonter le temps, entre le moyen-âge, les débuts du christianisme, l’antiquité grecque, romaine ou byzantine et encore plus tôt dans le temps, jusqu’au lointain paléolithique si difficile à imaginer. Matera n’a rien d’une ville Italienne. On pourrait se croire en train d’arpenter les rues d’un village du Proche-Orient, tout droit sorti de la Bible ou des Evangiles. Bethléem, Jérusalem, apparaissent à chaque coin de venelle.

     

    Le cinéma ne s’y est pas trompé et nombre de réalisateurs sont venus poser ici leurs caméras pour recréer à l’écran des extérieurs mettant en scène la vie du Christ : Pasolini, en 1964 avec son « Evangile selon Saint Matthieu », Mel Gibson en 2003 pour sa controversée « Passion du Christ », ou la Time Warner en 2006 pour sa « Nativité » retraçant l’histoire de Marie et de Joseph.

     

    Un monde pétrifié de grottes autrefois habitées et de maisons en pierre et en argile, d’églises rupestres et de citernes creusées à même la roche. Rien n’a semble-t-il changé. Citernes et habitations troglodytiques sont toujours présentes, intactes, impressionnantes, ouvertes aux quatre vents. Grottes artificielles, immenses et millénaires, silencieuses, plongées dans la pénombre. Le visiteur s’aventure sur la pointe des pieds, seul, impressionné, dans ces vastes cavernes aujourd’hui silencieuses, désormais désertées par leurs habitants  mais dans lesquelles vécurent, naquirent, moururent des générations par centaines  depuis la nuit des temps. Désertées comme tellement de ruines, tellement de lieux antiques, cela n’aurait rien de surprenant. Et nous n’en sommes pas surpris lorsque nous visitons le Palatin ou le Forum romain, les sites étrusques du Latium, Herculanum en Campanie, ou Pompéi aux rues sans fin, la Vallée des Temples d’Agrigente, le marché de Trajan le ou les thermes romains qui débordaient autrefois de vie et d’activité.

     

    Mais il y a à Matera quelque chose de différent, quelque chose de très particulier : Cette cité millénaire resta habitée durant quelque 10 000 ans sans interruption et jusqu’au tout récent 20ème siècle !

     

    Jusqu’au milieu du siècle dernier en effet, les rues enchevêtrées de cette antique partie de Matera connue sous le nom des « Sassi » vibrèrent du bruit des commerçants et des artisans, des cris des bandes d’enfants répandus dans les rues.

    Jusqu’en 1952 entre quinze mille et seize mille habitants peuplaient encore les sassi de Matera.

    Une population en grande partie misérable et résignée. Six enfants en moyenne par famille, peu de travail pour les hommes, une pièce unique pour vivre, dans laquelle s’entassaient parents et enfants en compagnie des animaux domestiques, porcs, chèvres, poules…

    Et par-dessus tout ça régnait en maître l’impitoyable malaria qui, lorsqu’elle laissait en vie adultes et enfants, les transformait en êtres maigres, faméliques, au teint jaunâtre et au sourire définitivement éteint.

    Dans un passage de son livre « Le Christ s’est Arrêté à Eboli » , dont la lecture est indispensable à qui veut comprendre le Sud de cette Italie du début du 20e siècle encore plongée dans la féodalité, et ce que l’on a appelé la « Question Méridionale« , Carlo Levi, médecin et peintre turinois exilé en 1936 dans le Basilicate [autrefois appelé Lucanie] pour s’être opposé au régime mussolinien, fait de Matera une saisissante description. Il y compare les Sassi à l’Enfer de Dante tel que se l’imaginent les écoliers, et révèle du même coup au monde entier  [l’ouvrage a été traduit en 37 langues] cette chaotique et anachronique cité.

    Le livre est publié en 1945. Il crée un choc dans l’Italie des années d’après-guerre sur la voie du développement industriel, du design, de la mode,

    de la « dolce vita » . 

    Les yeux se tournent alors vers Matera l’oubliée. Les Italiens eux-mêmes, surtout au nord de la péninsule, en ignoraient pour certains jusqu’à l’existence. Le monde intellectuel se mobilise tandis que les journaux étrangers publient non sans mauvaise foi des reportages choc faisant insidieusement passer la vie troglodytique et misérable de Matera pour celle d’une Italie attardée, sous-développée, aux conditions sanitaires désastreuses, dans un monde qui n’aurait pas évolué depuis les temps de la Bible.

    C’est ainsi qu’une loi de 1952 vint mettre fin à ces millénaires d’occupation continue de Matera. Les quinze mille habitants de la « Cité des Sassi » furent relogés de gré ou de force dans des immeubles récemment construits dans la partie moderne de la ville, bien au-dessus des séculaires ravins.

    Privé de ses habitants la ville, non entretenue, commença à se dégrader et fut en 1980 victime d’un tremblement de terre.

    En 1986, des crédits furent votés pour la mise en œuvre de travaux de rénovation.

    Et en 1993, les Sassi de Matera furent ajoutés par l’UNESCO à la liste des merveilles du monde à protéger : le Patrimoine de l’Humanité. Elle devint ainsi le premier site de l’Italie méridionale à recevoir une telle distinction. Ce qui fut quelques décennies plus tôt la « honte de l’Italie » se transformait en un paysage culturel digne d’être sauvegardé.

    Aujourd’hui, Matera a repris vie. Grâce au tourisme de plus en plus important qui amène dans cette terre désolée de l’ancienne Lucanie des touristes venus du monde entier. Les habitations misérables dans lesquelles s’entassèrent des familles entières jusque dans les années 50 sont aujourd’hui des hôtels magnifiquement rénovés, de luxueuses chambres d’hôtes, des galeries d’art ou des restaurants chics.

    Mais l’âme de cette cité austère et hors du temps n’a pas totalement disparu. Pour tenter de la découvrir il vous faudra vous promener dès avant le lever du soleil dans le labyrinthe de ses ruelles et de ses escaliers, ou le long de ses allées étroites dominant le ravin, pour pénétrer dans les églises rupestres, les grottes abandonnées et les citernes sombres et fraîches creusées dans le roc par le nombre difficilement imaginable des générations qui se succédèrent en ces lieux fantasmagoriques.


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  • LECCE

    Réputée pour son patrimoine artistique particulièrement bien conservé, la ville est considérée comme l'une des capitales de l'architecture baroque de par l'originalité et la richesse du style architectural qui y a été développé à partir de la fin du XVIe siècle, rendu possible par la malléabilité exceptionnelle de la pierre calcaire locale, appelée « Pierre de Lecce ». Elle a, pour ces raisons, reçu des surnoms flatteurs de la « Florence Baroque » (ou la « Florence du Sud » ou encore l'« Athènes des Pouilles ») et est considérée comme l'un des fleurons de l'Italie méridionale.

    UNE VILLE ITALIEN BIZARREMENT MECONNUE

    UNE VILLE ITALIEN BIZARREMENT MECONNUE

    UNE VILLE ITALIEN BIZARREMENT MECONNUE

    UNE VILLE ITALIEN BIZARREMENT MECONNUE

    UNE VILLE ITALIEN BIZARREMENT MECONNUE

    UNE VILLE ITALIEN BIZARREMENT MECONNUE

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