La forme-écluse JOUBERT à Saint-Nazaire détruite par les Britanniques en 1942

Le 28 mars 1942, 611 commandos et marins britanniques opèrent un raid sur Saint-Nazaire sous le nom de code « Opération Chariot ». Leur objectif : Neutraliser la forme Joubert. Le destroyer HMS Campbeltown chargé d'explosifs et les 20 vedettes qui l’accompagnent réalisent un exploit en la détruisant. L’objectif était de rendre inutilisable la forme, la seule, sur l’Atlantique, pouvant servir à réparer et entretenir les grands cuirassés du Reich, tel le Tirpitz. Ce navire (Sistership du Bismarck), le plus grand cuirassé de son temps, était une menace majeure pour les convois alliés. Sans port pour l’accueillir, le cuirassé dut rester caché dans les fjords norvégiens où les britanniques finirent par le débusquer et couler ce deuxième cuirassé.

Le HMS « Campbeltown » encastré dans la porte aval de la forme Joubert

La forme/écluse colmatée avec un merlon de débris et de terre pour protéger le niveau des bassins. L'épave du Campbelton est à l'intéreure

La forme Joubert rénovée après la fin de la guerre.

L’opération Chariot, est considérée comme un des plus grands faits d’armes des forces alliées lors de la deuxième guerre mondiale.

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Beaucoup de personnes connaissent la fin du "Bismarck", joyau de la Marine de Guerre des Nazis, maintenant vous connaissez la fin du "Tirpitz" son jumeau !

Photo du Tirpitz (coloriée) et celle du Bismarck deux puissants cuirassés rapidement envoyés par le fond par les britanniques

ET SI ON JOUAIT À  :  OÙ SOMMES NOUS ?

Vous avez peut-être une idée.

 Ces statues et ces canaux...

 Ah! Il faut aimer l'humidité ! Tiens les bateaux sont de couleur !

 Mais non ! Nous ne sommes pas à Venise mais à.......

Venise n'est pas très loin, mais c'est dommage que Chioggia soit ignorée a ce point ! C'est beau est c'est moins cher !

Les barrages d'INGA sont situés dans l'ouest de la République démocratique du Congo, à 150 km en amont de l'embouchure du fleuve Congo et à 225 km au sud-ouest de Kinshasa.

   Installation existante                                              Installation finie

Le projet est sur les rails : le plus grand barrage du monde sera construit au Congo (à partir de 2015). Il devrait produire une électricité à bas coût. Une chance permise grâce à la situation exceptionnelle du fleuve Congo.

Le Grand Inga, un barrage construit en plusieurs étapes, sur le fleuve Congo, en République Démocratique du Congo, sera le plus grand barrage du monde.

A l'issue d'une réunion à Paris, le week-end de Pentecôte, les différentes parties prenantes, c’est-à-dire les gouvernements congolais et sud-africain, les concepteurs et les consortiums candidats, sont tombés d'accord sur le projet final.

62 milliards d'euros d'investissements

Le barrage représente un investissement total de 80 milliards de dollars, soit un peu plus de 62 milliards d’euros, pour une production annuelle de 40.000 mégawatts-heure par an. La première pierre a été posée en octobre 2015. Deux barrages, Inga I et Inga II, existent déjà sur le fleuve Congo.

Trois consortiums, un Chinois, un Coréen et un Sud-africain, sont sur les rangs. Il faut dire que l’investissement est très rentable. La quantité d’électricité produite s’annonce exceptionnelle, et la situation du fleuve Congo permet des coûts relativement bas. A la clé, l’électricité produite est prévue pour être la moins chère du monde.

Une production d'électricité permanente

Le projet est ambitieux: fournir une quantité gigantesque d'énergie avec des investissements finalement raisonnables. Un pari technique rendu possible, d'abord grâce au caractère exceptionnel du site.

Le débit du fleuve Congo est colossal, avec 6.600 m² par seconde, et surtout régulier. Ses confluents sont en effet situés pour certains sur l'hémisphère nord, pour d'autres sur l'hémisphère sud. Ce qui assure de l'eau toute l'année dans le fleuve.

Une partie de cette eau serait déviée vers d'autres vallées plus encaissées et plus étroites. Du coup, pas besoin d'énormes constructions pharaoniques, le barrage aura une taille moyenne et sera pourtant en mesure de fournir 37% des besoins en électricité pour l’Afrique.

les Les barrages (déjà imposants) 1 et 2  sont existants et seront optimisés

Ce double barrage de charge est existant, en amont des barrages 1, 2 et 3.

Les barrages 4, 5, 6, 7 et 8 achèveront le Grand INGA

Le barrage 8 devrait ressembler à çà.

Comparé à l'actuel plus grand barrage du monde, celui des Trois-Gorges en Chine, le projet Grand Inga, produira deux fois plus d'électricité, pour un coût supérieur de seulement 30%.

Mais il devrait fournir 37% des besoins en électricité de l'Afrique.

Nota : Il y a deux autres projets (tout aussi gigantesques) africains en Ethiopie et au Kenya qui pourraient donner à ce continent un certain confort énergétique.

Je sais pas comment cette photo de la famille de ma mère est arrivée entre mes main. Elle était pleine de taches et de cassures et j'ai passé des jours pour la restaurer, pixel par pixel. Je ne connais pas l'histoire de la vie de ma mère, je sais seulement qu'elle est née à Ham (Somme) en 1922. Maman est la plus petite et sa sœur avec leurs Parents (Papy et Mamie que je n'ai jamais connus) et leur Grand Mère

 Ma Maman en 1942 - Mon Papa et mon petit frère 1959

Là, c'est Moi ! A l'époque on avait tendance à habiller les petits gars en fille

 Mon mariage avec Martine en 1972 à Montoir de Bretagne.

 Photo d'artiste en noir & blanc de notre mariage et celle de mon frère en couleur.

Vacances à Zarsis (Tunisie) en 1983.

Vacances à Istanbul (c'est moi qui a pris cette photo en 1985), Martine est au milieu avec une amie - Les soldats étaient vraiment armés.

Vacances près d'Antalya à Kemer (Turquie) en 2000, Martine et moi attendions un taxi.

 Vacances a Mahdia (Tunisie) en 2010