C'était un trait d'intelligence et c'est devenu une doctrine inspirée des travaux de l'économiste britannique Thomas Malthus (1766–1834) qui prône une restriction volontaire des naissances afin que la croissance démographique reste en rapport avec la croissance des richesses.

Pour faire une analogie, les ressources d'un territoires peuvent être comparées à un gâteau qui doit être partagé en parts de plus en plus petites au fur et à mesure que les invités  (la population),  se partageant le gâteau,  progressent en nombre.

Une politique de contrôle strict des naissances peut aussi être appelée une politique malthusienne (Chine). C'est le contraire d'une politique nataliste, qui encourage la natalité (France).

Le « néo-malthusianisme » (adapté à notre siècle) peut désigner des approches de l'environnement dans lequel l'accent est mis sur le caractère limité des ressources imposant de limiter la croissance démographique, en opposition avec les approches préconisant par exemple des changements dans les modes de vie ou une répartition plus équitable des ressources.

Plus de deux cents ans après, le malthusianisme a toujours tort quand il s'agit d'aller vers une société d'abondance durable.

Malgré ses égarements, le malthusianisme avec son profond pessimisme sur les capacités de l’homme à résoudre ses problèmes, continue de connaître une grande popularité :

Pourquoi ?

Ce n'est pas un doute sur les capacités humaines, mais c'est une cupidité incommensurable

Le collectivisme, le communisme, le capitalisme, le libéralisme ou le dirigisme ont fait leurs chemin autour de cet inéluctable malthusianisme, comme si nous avions plusieurs TERRE à détruire !

DANS L’ARTIQUE, LE PERMAFROST FOND 70 ANS PLUS TÔT QUE PREVU :

C’EST UNE CATASTROPHE NON PRISE EN COMPTE A CE JOUR

Ce que nous avons vu était incroyable. Des chercheurs viennent de découvrir que le permafrost, l'épaisse couche de glace qui couvre 25% de l'hémisphère nord, a fondu 70 ans plus tôt que prévu dans l'Arctique Canadien (et donc l'Arctique Sibérien, beaucoup plus grand). Or le permafrost abrite du carbone, du méthane et même du mercure. Il en libère de grandes quantités en fondant, accélérant le réchauffement climatique de façon gigantesque.

Les scientifiques rapportent que les îles arctiques ont connu une série d’étés particulièrement chaude entre 2003 et 2016 entraînant des indices de dégels moyens supérieurs de 150 à 240 % à la normale de 1979 à 2000. Cela a provoqué un affaissement de 90 centimètres du sol par endroits en raison de la fonte du permafrost.

Le permafrost libère déjà de grande quantité de gaz à effet de serre

Et cette nouvelle est encore plus mauvaise qu’on pourrait le croire. Car le permafrost, en fondant, libère des gaz à effet de serre. Les experts estiment que le permafrost renferme deux fois plus de carbone que l’atmosphère. Or, les projections les plus pessimistes du Giec (Groupe d’expert Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) avec un réchauffement à 4 ou 5 °C n’incluent pas les processus de dégel du Permafrost, explique Florent Dominé, le directeur de recherche au CNRS et spécialiste des interactions neige-climat-pergélisol.

Autrement dit, la fonte du permafrost va accélérer le réchauffement climatique. D’autant que cette couche de glace ne renferme pas seulement du carbone, elle emprisonne également des stocks de mercure deux fois plus importants dans le permafrost que sur le reste de la Terre.

Et ce n’est pas fini. Des chercheurs ont remarqué qu’en Sibérie, lorsque le pergélisol fond, il relâche des bulles de méthanes qui explosent provoquant des cratères de 70 mètres de profondeur. Or le méthane est un gaz à effet de serre, responsable du réchauffement, 20 à 25 fois plus important que le CO2.

Et pour la "Cerise sur le Gâteau", selon certains scientifiques Norvégiens, le permafrost n'a pas été toujours gelé, dans un passé lointain (plusieurs millions d'années) et beaucoup de virus (et autres microbes inconnus pour nous) vont être libérés dans l'air libre.

Seront-t-ils inoffensifs ou très agressifs, voire mortels ?

Là, nous allons très très loin, ces "presque-certitudes" et suppositions plausibles sont des scenarios possibles pour la fin du 21éme siècle.

OUPS !

Plus petite, quand même, mais propre et inépuisable comme notre Soleil !

ITER

Le Réacteur thermonucléaire expérimental international "ITER", est un projet international de réacteur nucléaire de recherche civil à FUSION NUCLEAIR (pas à fission nucléaire comme l'EPR) de type TOKAMAK, situé à proximité immédiate du centre d’études nucléaires de Cadarache à Saint-Paul-lez-Durance  

UNE ENERGIE INEPUISABLE

La fusion est la réaction nucléaire qui alimente le Soleil et les étoiles. Potentiellement, c'est une source d'énergie quasiment inépuisable, sûre, et d'un faible impact sur l'environnement. ITER a pour objectif de maîtriser cette énergie : Le programme est une étape essentielle entre les installations de recherche qui l'ont précédé et les centrales de fusion qui lui succéderont.

ITER est l'un des projets les plus ambitieux au monde dans le domaine de la production d'énergie initiale.

En France, dans le département des Bouches-du-Rhône, 35 pays sont engagés dans la construction du plus grand tokamak jamais conçu, une machine qui doit démontrer que la fusion (l'énergie du Soleil et des étoiles) peut être utilisée comme source d'énergie à grande échelle, non émettrice de CO2, pour produire de l'électricité.

Les résultats du programme scientifique d'ITER seront décisifs pour ouvrir la voie aux centrales de fusion électrogènes de demain.

L'hydrogène est l'élément le plus abondant de l'univers (et de loin), son isotope Deutérium a un neutron en plus du proton. Il existe à très faible pourcentage dans l'eau. Mais le Tritium (à deux neutrons)est le fruit des réactions à très hautes températures (avec les cendres)

ITER sera la première installation de fusion capable de produire une quantité d'énergie nette. La machine réalisera des décharges de plasma de longue durée et testera également, pour la première fois, les technologies, les matériaux, ainsi que les régimes de plasma requis pour produire de l'électricité dans une perspective commerciale.

Des milliers d'ingénieurs et de scientifiques ont contribué à la conception d'ITER depuis que l'idée d'une collaboration internationale sur l'énergie de fusion a été lancée en 1985.

ITER est un prototype de réacteur, type Tokamak, relativement petit mais crédible pour l'avenir. Vous pouvez voir sur la photo de droite, en bas un homme qui donne quand même la taille de la bête.

Le problème ?...C'est que le plasma fait quelques million de degrés Celsius et que tout les matériaux sur terre ne résistent pas à une telle température...La Solution ?...Le maintenir loin des parois de la cage torique par des énormes champs magnétiques et des réfrigérants à très basses température derrière.

Les Membres d'ITER sont : La Chine, l'Union européenne, l'Inde, le Japon, la Corée, la Russie et les États-Unis, ils se sont engagés dans une collaboration de trente-cinq ans pour construire et exploiter l'installation expérimentale ITER. Un vrai réacteur de démonstration à l'échelle "1" pourra être conçu sur la base de ce retour d'expérience.

Vous pouvez découvrir sur internet le site "ITER" où vous trouverez toutes les informations sur la science d'ITER, la collaboration internationale et l'immense chantier en cours à Saint Paul-lez-Durance

(Bouches-du-Rhône).

Le tokamak est une machine expérimentale conçue pour démontrer la faisabilité scientifique et technique de l'énergie de fusion. ITER sera la plus grande installation de ce type au monde, avec un grand rayon de plasma de 6,2 m et un volume de plasma de 840 m³.

Et toujours les mêmes idiots qui croient toujours aux moulins ou aux panneaux photovoltaïques pour faire tourner un monde de 10 milliard d'Êtres Humains 

Mais je vous suis sur mon IPhone !........Je recommencerai mes articles à la fin du mois d'Octobre !